• 13 mars 2010, les envies de Cath (2)

    C'est le moment de vérité. Il faut que tu obéisses. Ma voix autoritaire t’excite tout en te faisant froid dans le dos. Marie, derrière toi, te donne l'estocade en posant une main ferme sur ton épaule et en t'incitant à t'agenouiller. Tu ne résistes pas, tu te mets à genoux.

    - Te voilà enfin à ta place ! Jubile Elodie.
    Tu oses à peine relever la tête tellement tu as honte de te retrouver dans cette posture devant tes invitées. Ton plaisir est à la hauteur de ta honte et à la lueur du regard qui te toise à cet instant, tu sais qu’Elodie est aussi au septième ciel, jamais elle n’aurait imaginé pouvoir dominer la copine de sa mère. Dés lors tout s'accélère.
    - Ah elle est belle la copine, s'esclaffe Marie.
    - J'ai dit comme une chienne à quatre pattes, renchérit Sylvie qui se lève d'un bond pour t'aboyer dessus. Allez obéis, t'es qu'une chienne !!!
    Cela t'excite, tu mouilles, tu obéis au moment où Marie pose le talon de sa botte sur tes fesses pour t'obliger à adopter la posture exigée.
    - Puisque tu es une chienne, tu nous appelleras tous Maître et Maîtresse, ordonne Elodie.
    - Bien Maîtresse.
    - Oui mais tu dois dire Maîtresse Elodie, corrige Marie. Sinon on ne sait pas à qui tu t'adresses, t'as compris salope ?
    - Oui Maîtresse... Marie.
    - Dommage qu'on n'ait pas de laisse, déplore Sylvie, on l'aurait promené à 4 pattes dans l'appartement, comme une vraie chienne.
    - Si il y en a une dans la chambre, dis-je, j’avais prévu d’amener à ton insu tout un attirail pour te soumettre.
    Et Elodie se précipite aussitôt dans la chambre, suivie de Sylvie, qui glousse de plaisir. Le plus drôle, c’est qu’elles sont toutes persuadées que tout cet attirail t’appartient.
    - T'es vraiment soumise à ce point ? Te demande Marie en flattant ta croupe de l'extrémité de son talon. Tu préfères ne pas répondre.
    Elle remonte doucement ton tailleur, fait apparaître la lisière de tes bas et les jarretelles qui les maintiennent. Puis elle abandonne, peut être rassasiée par la vision (furtive) de tes fesses pour se positionner face à toi.
    - Je veux que tu lèches mes pieds ! Ordonne Marie qui profite de l'absence de sa fille pour « prendre les choses en main ». Allez obéis, ajoute-t-elle pour vaincre ton hésitation.
    On dirait que tes copines prennent beaucoup de plaisir à t’humilier.
    - T'es qu'une chienne de toute façon.
    Tu te penches et déposes tes lèvres sur l'extrémité de ses bottes en cuir.
    - C’est bien, à mes pieds. Astique mes bottes, fais les briller et n'oublie pas le talon.
    Tu ne connaissais pas Marie sous ce jour, elle a visiblement une certaine expérience en matière de soumission, cela se sent. C’est pour ça que sa fille et Sylvie n’ont pas été surprises, elles doivent connaître ses penchants. Les ordres lui viennent naturellement, elle t'excite, elle te donne envie de lui montrer qu'elle a raison. De toute façon, à cet instant, tu n’as plus qu'une envie : sombrer dans la décadence absolue.
    Quand Elodie et Sylvie reviennent dans le salon, tu es à quatre pattes en train de lécher le talon de Marie. Nous rigolons tous de te voir sucer la pointe de la botte avec une telle application.
    Je me sens obligé d’en rajouter pour que le jeu évolue plus vite.
    - Regardez comme elle suce bien. Elle doit être bonne à tailler les pipes.
    Elles se mettent alors à hurler et rire comme des hystériques et tu ne comprends leur hilarité que lorsque Marie retire enfin le talon de ta bouche ce qui te permet de relever la tête dans leurs directions. Elodie tient en main un collier en cuir clouté et une laisse, mais c'est Sylvie, qui a provoqué leur fou rire exhibant un énorme gode. Sylvie tient l'énorme queue en latex et fait mine de se masturber en riant aux éclats.
    - Allez, ordonne Marie, va faire ta pute ! Va sucer la queue de ma copine !
    Tu te diriges alors à quatre pattes vers Sylvie qui te toise divinement et qui s'amuse à bouger le gode au moment où tu t’apprêtes à le prendre en bouche. Tu ouvres grand la bouche en guise de soumission.
    - Regardez tous ! Elle ouvre la bouche, elle n'attend que ça !
    Elodie s'approche de toi, doucement, le regard hautain, le sourire aux lèvres, tu sais qu'elle s'apprête alors à te dominer comme jamais tu ne l'as été jusqu'à présent. Le pire est que c’est une amie de ta fille et que tout ça se passe devant tes copines et que tu sais que tu vas continuer à les croiser tous les jours.
    Elle te tire alors les cheveux pour te forcer à relever la tête dans notre direction.
    - T'es bien silencieuse, nous on veut entendre le son de ta voix. Tout à l'heure tu faisais pas ta timide, pendant le repas, tu la ramenais à tout bout de champ...
    - C'est vrai ça, poursuit Sylvie, tu fais moins la mariole là maintenant !
    - On veut t'entendre nous dire que t'es qu'une chienne, exige Elodie en te passant le collier autour du cou. Comme ça après on pourra te promener comme une vraie petite chienne.
    Tu n'hésites qu'une demie seconde. L'humiliation est délicieuse.
    - Oui Maîtresse Elodie, je suis une chienne.
    - T'es pas juste une chienne, t'es une pute, renchérit Sylvie en te présentant le gode sous le nez. Allez vas-y dis le !
    - Oui Maîtresse Sylvie, je suis une pute.
    - Une pute qui aime tailler les pipes, allez dis le !
    - Oui Maîtresse Sylvie, je suis une pute qui aime tailler les pipes.
    Elodie accroche la laisse à ton nouveau collier et te pousse en direction du gode à engloutir. Il est énorme et veiné et tu peines au moment de le prendre en bouche. Tu déglutis avec peine, respire difficilement, de la salive commence à couler et tu manques presque de t'étrangler lorsque Sylvie retire doucement le gode pour le renfoncer brusquement au fond de ta gorge. Elle est moins expérimentée que les autres. Son inexpérience la rend brutale et maladroite mais son excitation est palpable et contagieuse. Toi, l’aide soignante respectée, tu es en train de tailler une pipe à une étudiante armée d'un gode ceinture... Et tout ça devant tes amies. Sylvie n'en revient pas, elle en jouit debout devant nous rien qu'à te toiser.
    - Regardez comme elle me pompe bien, dit Sylvie en baisant ta bouche avec une violence qui n'a rien à envier aux films pornos les plus osés. Mais cette fois, tu en as vraiment envie, tu es au-delà de la honte. Tu te saisis alors du gode et fait mine de le branler. Mieux tu baves dessus comme une vraie chienne en chaleur.
    - Ouah, elle est trop géniale ta copine maman, félicite Elodie en s'asseyant sur le fauteuil. Et puis maintenant qu’on la connaît comme ça…
    Elle n’a pas besoin d’en dire plus, tu sais très bien ce qu’elle sous-entend.
    Tu sens ma main qui fait pression sur ta nuque pour t'obliger à te mettre à quatre pattes afin de garder le gode en bouche. Dans le même temps, une autre main retrousse ton tailleur et te palpe les fesses. Nous avons maintenant la vision de ton cul, superbement mis en valeur par le string qui te rentre dans les fesses et ton porte-jarretelles qui maintient tes bas tendus.
    - Ouah ! Madame aime les dessous sexy ! Une vraie petite bourgeoise en chaleur ! S’extasie Elodie. Il faut dire que j’avais spécialement choisi la lingerie que tu devais porter pour l'occasion.
    - Elle cache bien son jeu, ajoute Marie en posant un pied sur ta fesse.
    Elle ressemble à un chasseur venant d'abattre un gibier de choix et posant pour la postérité sur le corps vaincu de sa proie. Tu sens la pointe du talon qui s'enfonce dans ta chair. Tu pousses un petit cri aigu mais sans cesser de pomper le gode de Sylvie.
    - Oh, madame est douillette, se moque Marie.
    Elle s'accroupit alors à côté de toi et avant que tu n'ais le temps de te demander ce qu'elle va faire, tu reçois une volée de claques sur les fesses. Tes protestations sont étouffées par le sexe en plastique que tu as dans la bouche et couvertes par nos rires.
    - Vas-y maman, frappe plus fort ! L’encourage sa fille. Fais pas semblant, elle aime ça !
    Les claques redoublent de violence sous les encouragements d’Elodie. Tes fesses rougissent à vue d'œil et déclenchent une avalanche de moqueries.
    - Tu peux y aller, elle aime les coups, relève Sylvie. Regarde comme elle me suce mieux maintenant que tu lui donnes la fessée !
    Et c'est vrai que tu accompagnes ta fellation de violents coups de têtes et de succions exagérées. Tu ronronnes de plaisir, tu perds toute retenue, te vautre dans la décadence avec un plaisir difficilement soupçonnable. La fessée se poursuit à un rythme encore plus soutenu, tu as le cul qui commence à te chauffer. Mais tu aimes et tu le montres en remuant du bassin de manière obscène. Comme pour provoquer ta fesseuse et l'inciter à taper plus fort encore. La réaction ne se fait pas attendre.
    - Regardez cette salope comme elle remue du cul ! Elle en redemande.
    C'est Elodie, tu as vite compris que c’est elle qui te fera le plus souffrir (jouir ?)...
    Marie se saisit alors de ton string et tire dessus violemment pour le faire rentrer plus profondément encore dans tes fesses et dans ton sexe. La surprise et la douleur que l'étoffe provoque en te cisaillant les grandes lèvres te fait recracher le gode. Mais tu te gardes de protester, tu es notre chose. Elodie, qui s'aperçoit que tu n'as plus le gode en bouche est la plus prompte à réagir. Elle te saisit le menton et te gifle à toute volée.
    - Qui t'a permis de recracher le sexe de la copine de ma mère ?
    Sylvie la regarde, éberluée par la violence de sa réaction. Je pense alors qu'elle est allée trop loin, que tu vas te rebeller mais il n’en est rien, tu joues ton rôle à merveille.
    - Pardon Maîtresse, pardon... Et tu reprends le gode pour l'engloutir au plus profond de ta gorge.
    - Ce n'est pas à moi que tu dois demander pardon, mais à Sylvie !
    Tu retires doucement le gode de ta bouche pour répondre.
    - Je vous demande pardon Maîtresse Sylvie, je le ferai plus, je vous obéirai... Tout ce que vous voudrez...
    - Putain tu lui as mis le cul dans un bel état ! Reprend Elodie.
    - Oui, ses fesses étaient trop pales à mon goût, répond Marie. Putain elle m'excite grave.


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