bonjour  pere fouettard   toutes mes excuses je savais pas ou j'avais la tete ( enfin si dans le recit lol) je me suis  dis que vous aviez  vu mes photos sur *** alors  vous saviez a quoi je  ressemblais ! si et je  dis bien si un jour je devais passer aux actes il es sur que je le ferais pas avec  quelqu'un de proche je voudrais pas etre mal a l'aise apres, de plus  oui  il faudrais que j'ai une entiere confiance avec la personne qui me ferais franchir le pas,avoir confiance et une certaine complicitée avec cette personne. l'entrée en matiere d'Amandine est troublante , car dans la vie  elle fonce , elle sais  ou elle va ( je devrais pas le dire mais  j'aimerais bien qu'un jour  ça se passe comme ça avec elle ) pour ce qui est  du plug  je pense qu'il va  retourner dans mes fesses ?? peut etre apres un nettoyage par ma bouche ? je vous remercie pour les instants que vous me faites vivre a travers vos recits Pere fouettard je vous embrasse tendrement Cath ps : quelques photos  prise du temps de mon ex

Amandine vient juste de porter le plug à son nez, elle le renifle un peu, avec une moue de dégoût. Pour ta part, tu es toujours à genoux, le string sur les chevilles et la jupe relevée. Elle nous regarde et nous demande ce qu’elle peut faire avec le plug.
Marie intervient :
- J’ai beau être sa chef au travail, cette fois Amandine, on te laisse mener le jeu, si Pierre (c’est mon prénom) est d’accord.
- Pas de problème pour moi, d’autant qu’Amandine n’a pas eu droit au début des festivités.
Amandine arbore un grand sourire.
- C’est évident qu’on va lui faire nettoyer ses cochonneries mais d’abord, Cath, tu te fous à poil !!!
Tu te relèves et commence à déboutonner ton chemisier tout en gardant le nez contre le mur. Amandine intervient immédiatement et te mets une grande claque sur les fesses, un ordre fuse :
- Qui t’as dit de te lever, tu reste à genoux pour te foutre à poil… Doucement et face à nous, que tout le monde en profite !
Pendant que tu finis ton strip-tease, elle débarrasse la table du salon et dispose le plug dessus et te donne l’ordre de venir à 4 pattes jusqu’à nous puis de monter sur la table et de rester à 4 pattes face à nous.
- Bon, maintenant tu écartes tes cuisses au maximum et tu me nettoies ce plug !
Pendant que tu lèches consciencieusement l’engin, elle te glisse 3 doigts dans le cul sans ménagement puis te tire la tête en arrière et te les fourre dans la bouche à la limite du vomissement. Ensuite, elle essuie la salive des ses doigts sur mon visage.
Tu ne peux que subir, tu es à sa merci, aucune aide à attendre de nous qui nous délectons du spectacle. Tu te doutes que ce n’est vraiment que le début de ce qui va t'arriver.
- Ma petite Cath, nous allons établir quelques règles, tu es d’accord ?
- Oui, Maîtresse Amandine.
- C’est bien. Tout d’abord, je ne veux qu'aucun mot ne sorte de ta bouche, sauf si je te l'ordonne. J'aime que mes jouets soient muets.
- Oui, Maîtresse Amandine.
- J'aime que mes jouets apprécient pleinement ce que je leur fais subir.
- Oui, Maîtresse Amandine.
- Donc, la prochaine fois que tu te dérobes comme tu viens de le faire, tu seras punie à la hauteur de ta faute.
Visiblement tu ne comprends pas de quoi elle parle. Devant ton étonnement elle te fait comprendre que quand elle t’a fouillé le cul, tu as eu un mouvement de recul et que si ça doit se reproduire, ce n’est pas 3 doigts mais la main jusqu’au poignet que tu te ramasses entre les fesses.
Sur ce, elle t’appuie sur la tête et te force à engloutir le plug.
- Cette fois, tu me nettoies ça comme il faut !
Tu sens nos regards posés sur ton cul offert, sur ta bouche forcée par le plug et tu n’en mènes pas large.
Elle te relève la tête et nous montre l’engin tout mouillé de ta salive.
- Qu’est-ce que je fais de ça ?
C’est Elodie qui répond :
- Tu lui refous dans le cul, pardi !
Amandine te demande de te mettre les épaules contre la table et d’écarter tes fesses avec tes mains, ce que tu fais sans discuter. En Maîtresse accomplie et pour ne pas te faire trop souffrir, elle commence par te planter le jouet dans la chatte, le fait tourner, aller et venir… Sylvie s’est rapprochée, elle se rappelle l’époque où vous aviez été amantes et regrette visiblement de pas avoir su tout ça de toi. Elle met ses mains sur les tiennes et t’écarte encore plus, dégageant bien ton petit trou. Amandine en profite, elle retire le plug d’un seul coup et sans autre forme de procès, le pousse à fond dans ton conduit. Tu ne peux retenir un cri aussitôt suivi d’une avalanche de claques sur les fesses.
- Je te préviens, Cath, c’est le dernier avertissement, la prochaine fois que je t’entends, tu ramasses !
- Oui, Maîtresse Amandine.
- Je te fais confiance… Mais attention !!!
Elle nous invite à venir jouer les uns après les autres avec ton cul. Le plug est retiré, renfoncé, il tourne dans ton anus et tu t’efforces de ne pas bouger.
Il y a longtemps que je n’ai rien dit et là, je sais que c’est le moment.
- Dis-moi Amandine, qu’est-ce que tu comptes faire si le plug sent encore la merde ?
Elle propose alors de continuer le même traitement jusqu’à ce que l’odeur disparaisse mais je lui rétorque qu’on risque d’y passer la nuit et qu’à la fin le problème ne sera toujours pas réglé.
Puis, je lui explique que la solution serait sans doute de te laver mais qu’il fait un peu froid pour qu’on te passe au jet dehors, bien qu’il serait amusant de te faire faire le tour de ton jardin en laisse. Il n’y a désormais plus qu’une solution, tout le monde a compris et regarde l’escalier qui mène à l’étage.
- Bon, Cath, tu montes à 4 pattes qu’on voit bien ton cul et tu nous attends à genoux, on va voir ce qu’on va faire de toi.
Cette fois, Amandine a donné un énorme gode à Elodie, elle te demande de t’appuyer contre le lavabo et de présenter tes fesses cuisses écartées au maximum. Tu te vois dans la glace, la gamine est derrière toi, elle te tient par les hanches pendant que sa mère l’aide à mettre l’énorme engin en face de ton trou, tout en t’écartant avec ses doigts. Et dire que c’est ta chef et que tu vas la revoir au boulot, dès lundi…
Sylvie en profite pour passer derrière tout le monde, on dirait qu’elle regrette de ne pas avoir pu abuser de toi pendant que vous étiez ensemble. Dès qu’elle croise ton regard dans la glace, elle appuie sur le dos d’Elodie et regarde tes yeux pendant que l’énorme bite en plastique se fraie un chemin dans tes reins. Elle observe ton regard entre douleur et satisfaction et te sourit…
Le gode va et vient entre tes fesses, tu sais que si elle ne s’arrête pas, tu vas jouir… Mais Elodie a compris et elle se retire.
Quand le gode est ressorti te laissant le cul douloureux et béant, tout le monde ne peut que constater qu’il y a un peu de merde dessus. Ce qui est normal vu la taille et la longueur de l’engin.
- Pour cette fois, ça va mais la prochaine fois, tu le suces. Compris !
- Oui, Maîtresse Elodie.
Nous te regardons tous, Amandine a fait un signe à ta tortionnaire et tu reçois l’ordre de te mettre à genoux. Tu te retrouves face à Elodie qui présente le gode ceinture devant ta bouche.
- J’ai réfléchi, tu le suces quand même.
Tu tentes bien de ne pas desserrer les dents mais le martinet qu’a monté Amandine entre en action.
- Tu vas obéir ou ça va mal se passer.
Au moment où tu vas répondre, le gode force le barrage de ta bouche et tu l’enfournes avec un haut-le-cœur, il y a quand même un peu de merde dessus.
- Assez joué, maintenant on va te laver, monte dans la baignoire.
Tu te retrouves sous le jet d’eau tiède, elle t’arrosent particulièrement la chatte te le cul, malgré l’humiliation de te faire laver par tes collègues et des gamines, ça te détend et tu te laisses aller.
Mais je fais remarquer à tout le monde que ça ne résout par le problème, c’est pas l’extérieur qui sent mais l’intérieur, j’espère que quelqu’un va saisir la balle au bond.
Amandine réagit au quart de tour, fouille un peu partout et revient avec une cuvette. La cuvette contient de l’eau savonnée et une poire à lavement.
Tu te retrouves de nouveau à 4 pattes, consciente de ce que tu vas subir. Tu sen deux mains t’écarter les fesse pour faciliter le travail des autres.
Tu as à peine le temps de te rendre compte de ce qui se passe que tu sens la poire te pénétrer. Une fois plantée en toi, Elodie fait coulisser la canule d’avant en arrière et tu entends sa mère :
- Assez joué, appuie ! Et mets lui en plusieurs, ça lui apprendra à avoir le cul propre.
Tu grognes à l'intrusion de l’eau savonneuse dans tes entrailles. A la quatrième poire, tu n’en peux plus, tu as l’impression que ton ventre va exploser.
- Arrête Elodie, je  ne peux plus en prendre, noooon !
- D’abord, c’est Maîtresse Elodie. Et puisque c’est comme ça, tu ne prendras pas seulement celle là !
Amandine poursuit :
- On est fatigués de tes remarques. Je ne veux plus entendre un seul mot, est-ce que tu comprends ? Pas un mot de plus ! Si j'entends encore n'importe quoi, je te plante mon poing dans le cul jusqu’à l’avant-bras !
- Oui, Maîtresse Amandine.
Elle doit forcer tes fesses en les écartant, découvrant ton anus étroit et serré pendant que tu essaies de contenir l'eau savonnée en même temps. Quand elle presse la poire, tu te raidis, puis la longue canule se retire de ton petit trou pour remplir de nouveau la poire.
A chaque poire, les filles rigolent un peu plus. Tu tentes de bouger les jambes mais les bords de la baignoire te bloquent et c’est presque impossible. Tu te contentes de serrer les fesses de toutes tes forces pour retenir le mélange savonneux qui t’occasionne maintenant des crampes au plus profond des intestins. Tu n’as qu’une peur, c’est de ne pas pouvoir te retenir.
Elles t’ont vidé 5 poires de cette eau tiède, tu vas finir par éclater.
- Arrêtez, je ne peux plus me retenir.
- Elle nous donne des ordres.
Dit Elodie d'un air incrédule.
- Je peux pas la fister maintenant, elle est « pleine ». Mets-lui en une autre. Et toi, t’as intérêt à te retenir.
 
Et maintenant tu la vois comment la suite ???