• 13 mars 2010, les envies de Cath (3)

    J’interviens, je me contente de surveiller le jeu, j’adore ça…
    - Elle aussi ça l'excite. Regardez comme elle mouille…
    Je fais sauter un nouveau « verrou » en passant une main sur ta chatte.
    Elodie encourage Sylvie et sa mère à aller toujours plus loin, en franchissant elle-même de nouveaux caps. Elle m’épate cette gamine.
    Je tends ma main humide de ton plaisir à Marie pour qu'elle la sente.
    - Ca sent la grosse cochonne, se moque Marie.
    Sylvie pouffe de rire tandis que Marie, qui veut constater d'elle-même l'excitation qui perle le long de ta chatte, s'accroupit derrière toi et te glisse un doigt dans le string. Il est imbibé de mouille.
    - Putain on dirait qu'elle a pissé dedans !
    Son doigt s'insinue dans tes chairs, pénètre ton sexe poisseux, et tu gémis en t'agrippant aux hanches de Sylvie pour ne pas recracher à nouveau le gode que tu ne finis plus de sucer.
    - Ouais, branle la cette chienne, lance Sylvie en sentant tes mains sur ses hanches. Elle aime ça ! Ah elle est belle notre copine... à se faire doigter par nous devant ta fille !
    - Oui, et elle a reçu une belle fessée ! Ajoute Elodie. Elle a le cul bien rouge.
    - Et elle aime ça, je vous jure, jubile Marie qui a maintenant deux doigts dans ta chatte.
    - Il lui faudrait quelque chose de plus gros, propose Sylvie en prenant le gode en main et en faisant mine de le branler.
    - Ouais, ça c'est une idée, baises la à fond, encourage Marie. Je suis sûre qu'elle en a envie !
    Les choses deviennent intéressantes, je ne peux que pousser le jeu.
    - Réponds, t'as envie de te faire baiser par Sylvie ?
    Il y a un plaisir immense à transgresser un interdit : celui de baiser et humilier leur copine... Tu ne peux évidemment pas leur refuser ce plaisir... Et à moi non plus d'ailleurs.
    - Oui Maîtresse Sylvie, baisez moi, j'en ai envie.
    Elle ne se fait pas prier. Elle passe derrière toi et pointe aussitôt le gode entre tes cuisses. Elle écarte ton string mais ne le retire pas. Tu te cambres pour mieux l'accueillir et lui montrer si elle doutait encore que tu n'attends que ça. Ton attitude provoque de nouvelles railleries. Mais plus elles se moquent, plus tu mouilles. La situation est des plus humiliantes : de copine tu es devenue leur esclave... En chaleur qui plus est. Le gode pénètre doucement dans ta chatte trempée. Un vrai délice... Tu soupires, tu gémis... Le gode est gros, veiné, il te comble... Sylvie s'extasie de le voir pénétrer si facilement.
    - Putain les filles, vous avez vu, il est rentré comme dans du beurre !
    Et pour ponctuer la remarque de Marie, tu lâches un vrai gémissement à la limite de la jouissance. Sylvie a commencé ses va-et-vient. D'abord doucement, puis plus rapidement. Tu pousses un petit cri de plaisir à chaque fois que le gode vient heurter le fond de ton vagin. Tu te sens impudiquement offerte... A 4 pattes, prise en levrette par ta copine. Sylvie, un peu hésitante au départ, commence à s'affirmer, à t'imposer une cadence plus virile. Elle pose ses mains sur tes hanches et s'enfonce en toi plus rapidement, plus violemment. Tu mouilles comme une folle, tu sens ton jus qui s'écoule le long de tes cuisses, tu n'arrêtes plus de gémir. Il y a tellement de tension en toi depuis cette fin d'après midi où tu appréhendais le jugement de tes invités que tu en oublies maintenant qu’il y aura sans doute des conséquences pour toi dans l’avenir.
    C'est une vraie libération de pouvoir exprimer ta jouissance. Tu n'as plus à te contenir, l'humiliante situation dans laquelle tu te trouves associée aux aller retour de plus en plus violents du gode qui te laboure la chatte te donne un orgasme extraordinaire.
    La jouissance te fait perdre toute contenance. Tu hurles de plaisir puis tu t'affales sur le sol pour tenter d'étouffer tes cris. Ton orgasme ne passe évidemment pas inaperçu.
    - Vas-y salope, jouis, jouis... t'encourage Sylvie sans cesser de te pistonner.
    Entre deux gémissements, tu parviens à lui répondre :
    - Oui... Oui... Ahhhh....
    Marie et sa fille ont le même regard lubrique et vicieux. Elles parlent de toi, qui te fais baiser par sa copine… Je sais qu’avec ces deux-là, tu ne vas jamais t’ennuyer !!!
    Ton orgasme te fait perdre la notion du temps et du même coup toute notion de décence.
    - Oui, oui... Encore, baise moi... Vas-y prends moi...
    Tu en rajoutes pour mettre Sylvie en confiance et l'inciter à se "lâcher" totalement. Ta jouissance t'y aide aussi beaucoup et d'ailleurs tu la tutoies sans même t'en rendre compte.
    Il est vrai que je prends beaucoup de plaisir au spectacle, je rajoute donc :
    - Vas-y, prends la bien profond ! Fais la gueuler !
    Je m’accroupis à côté de toi pendant que Sylvie n'en finit plus de te baiser. Je te souris d'un air pervers que tu sais dangereux. Je te saisis le menton et te force à me regarder droit dans les yeux.
    - Ca te plaît de te faire prendre comme ça, à 4 pattes sur la moquette ?
    - Oui... Oui... Ca me plaît... Ahhh...
    Je te décoche alors une claque sur les fesses retentissante... Si retentissante que tu en perds l'équilibre. Le gode de Sylvie ressort de ta chatte.
    - Putain, on t’a dit de m’appeler Maître, c'est pas compliqué, merde !
    - Pardon Maître... Pardon, je n'oublierai plus... Vous avez eu raison de me fesser Maître, pardonnez moi...
    - Si tu nous manques encore une fois de respect, je te jure que je dis à tes collègues qui tu es en réalité.
    - Oh non Maître, surtout pas... Je ferai tout ce que vous voudrez.
    - Sinon on envoie tes photos et ta lettre à la maison de retraite, continue Sylvie.
    - Oh non Maîtresse Sylvie, je vous en supplie... Je vais être obéissante, je vous promets.
    - Oui, une vraie petite chienne obéissante, reprend Elodie en te saisissant par le collier.


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