bonsoir Pere fouettard vous pouvez pas savoir a quel point vous m'avais fais mouiller , j'ai jouis 2 fois en lisant  le recit , comme j'aimerais etre vraiment  a sa place ...... continuez dans ce sens, on dirais que votre "heroine"  est dans ma tete ou que je suis dans votre tete ,parceque ce que vous ecrivez  je l'ai deja  revée ou plutot je l'ai fantasmée ! vous savez   je suis  pas extravertie plutot introvertie je dirais , voir meme   timide quand je  connais pas trop ! me faire  rabaiser et  humilier me donne l'impression d'exsister , j'ai jamais osée franchir le pas , la peur et la honte je pense m'en empeche mais j'aimerais au fond de moi........ merci pour  ce que vous m'ecrivez je me permet de vous embrasser Cath

Bonjour Cath, C'est le but recherché, je suis content que tu trouves du plaisir à me lire. Tout au long de mes (tes) récits nous apprendrons à mieux nous connaître, et alors, qui sait... Si tu veux en profiter pleinement, j'aurais besoin de plus de détails sur chacun(e) des participants : Leur âge, taille, mensuration, type vestimentaire, activité professionnelle, passe-temps préférés... De la même manière, tu peux me décrire succinctement les lieux où se passe l’action. Le plus les détails feront partie de ta vie de tous les jours, le plus tu vivras ce qui se passe. La prochaine qui entre en scène est Amandine, essaie de me la décrire au mieux. Dis-moi juste si tu es d’accord avec ce qui suit. Dans mes récits, je vais essayer de mettre en scène :

- Ta passion à contenter tes tortionnaires et à constater le plaisir charnel et psychologique que je prends à te tourmenter... Je sais qui si tu ne sens pas en moi ce plaisir pervers et contre nature à te faire souffrir, à te tourmenter et à t'humilier, tu seras frustrée. - Te faire sentir inférieure, dangereusement inférieure, au bord du gouffre, quand la peur est sur le point de couvrir ton excitation... Comptes sur moi pour être suffisamment sage, je ne te pousserai pas, je te tends plutôt la main. Le respect de nos limites est le ciment de notre complicité. - Tes fesses bien rouges, c'est si beau à regarder, tu ne t'en lasses pas... J'adorerais admirer ton cul rougi, tu dois rêver de ta fessée déculottée sur mes genoux.

- Les tenues sexy bien sûr : les bodys, les guêpières, les cuissardes, les colliers, le cuir, le latex et le vinyle, j’aimerais que tu sois parée de ces « uniformes » qui aident à prendre le pouvoir ou à le remettre. Mais par uniforme on peut voir aussi un tailleur strict, des escarpins, un corsage légèrement transparent, la couture d'un bas... La sensation déroutante que tu auras d'appartenir à une autre personne, de perdre le contrôle, de sombrer dans la déchéance, juste par plaisir sans que tu te demandes si c'est bien ou mal, bon ou mauvais, obéir tout simplement, ne pas accepter l'humiliation, l'insulte et la honte parce que l'autre commande, mais parce que tu aimes ça et moi aussi... Partager le bonheur, assumer ses plaisirs...
- Le renversement des rôles et des pouvoirs, c’est ce qui vient de se passer dans mon dernier récit. Mais il y a beaucoup d’autres situations : la patronne, qui se laisse dominer, la maîtresse de maison qui reçoit la fessée de sa bonne, la prof si sévère qui supplie la jeune étudiante...
- Lécher la chatte de tes tortionnaires... Tu sais qu’on n'a pas besoin d'être soumise pour cela, mais quand tu y passeras une soirée sans rien attendre en échange ? T'imprégner de leurs odeurs intimes, les butiner, qu'elles te caressent la nuque comme une petite chienne durant tes exercice, les sentir couler et fondre dans ta bouche,  les entendre gémir doucement...
- La multiplicité des scénarii, la diversité des contraintes, des ordres, des humiliations, des tenues, des gadgets, l'appel constant à ton imagination et au renouvellement des pratiques, l'assurance de ne jamais te laisser sombrer dans la routine…
- L'intelligence des mots et de la voix, qui bien utilisés, doivent te cingler comme un coup de cravache... Une remontrance dite d'une voix doucereuse, hummm, une allusion bien humiliante sortie au bon moment, une bordée d'insultes lorsque tu es au bord de l'orgasme, un ordre lâché d'une voix perçante, un rire moqueur... Et que dire de toi qui peut supplier, pleurnicher, remercier, protester... ou tout simplement obéir.
Je compte sur toi pour me dire si le programme te plait dans son intégralité, si je dois en enlever ou en rajouter et surtout pour me décrire les lieux et les différents protagonistes.
J'attends tout cela, aujourd'hui j'ai beaucoup de travail, tu as donc jusqu'à demain matin...
Je t'embrasse également, c'est un plaisir.
Père Fouettard.