• Suite de nos échanges   Date: Sat, 13 Mar 2010 13:24:49 +0100

    bonjour pere fouettard
     
    je dois avouer que votre recit ma excité grave , comme j'aimerais le vivre en vrai , ça m'est deja  arrivée de penser a des soirée comme  celle la
    je sais pas comment je reagirai si  ça m'arrivais en vrai , mais e ntout cas oui c'est un de mes fantasmes
    si vous pouviez mettre Marie  c'est une collegue et Elodie sa fille , j'ai  aussi une autre amie Sylvie et aussi Amandine  une amie de ma fille- le fantasmes  serais encore plus realiste ( meme si ça ne reste qu'un fantasme), vous pouvez continué dans cette direction
    je vous fais une confidence  quand j'etais avec mon ex il m'est arrivée  qu'il m'attache avant que je le suce et qu'il me prenne en levrette main dans le dos attachées
    je pense que mes fantasmes  viennent un peu de la  car j'adorais ça
    vivre  tout un week sous vos  ordres et ceux de mes amies comme j'aimerais vraiment
    merci pour ce moment delicieux Pere fouettard ( doisje vous  dire que ça ma fais bcp m---- et que j'ai pas pus resisiter)
    bise
    Cath

    Tu sais que tu dois m'obéir jusqu'au lundi mais tu te rappelles que le soir même, tu as invité tes deux amies Marie et Sylvie à manger et tu essaies de me convaincre que l’on pourrait arrêter pour ce week-end, tu es même prête à échanger la journée qui reste contre deux week-end complets.
    Mais non, ma belle, un accord est un accord et tant pis si tes copines risquent d’être surprises.
    Elles arrivent vers 19 heures, Marie vient avec Elodie, sa fille, tu blêmis car ça n’était pas prévu au programme. Le repas se passe bien, tout le monde rigole ; toi, un peu moins car tu ne sais pas si je vais mettre mes menaces à exécution.
    Nous mangeons tous ensemble, tu dois faire la vaisselle et nous rejoindre au salon après avoir fini. Un certain malaise s'empare de toi en te dirigeant vers le salon. Que vas-tu trouver en poussant la porte ? Tu ne peux plus reculer.
    Quelque chose a changé, tu le sens, mais quoi ? Tu ne tardes pas à avoir la réponse en découvrant ton sac à main, grand ouvert sur la table basse. Tes jambes sont sur le point de se dérober en constatant ce que tu vois...
    Ton sac trône sur la table, vidé de tes papiers, rouge à lèvres, portable, clés et autres effets personnels pour qu'apparaisse plus nettement ce que j’y ai rajouté discrètement durant ton absence.
    Bref, dans ton sac, il y a à cet instant, quelques photos d'une femme te ressemblant, nue, à quatre pattes, les fesses rougies par la fessée, pénétrée d'objets obscènes et variés. Ce n'est pas toi, mais tu reconnais que le montage est stupéfiant. Le visage est flou ou alors les photos sont prises de dos, mais la silhouette est très proche de la tienne, jusqu'à la forme de tes seins, de tes hanches, ou même ta coiffure. Tu es sous le choc, te demandant un instant si ce n'est pas vraiment toi.  
    Mais ce n'est pas tout, il y a aussi un plug de belle taille qui trône sur la pile de photos.
    - Moi la photo que je préfère c’est celle-ci, dit Marie en te tendant une photo censée te présenter nue à 4 pattes avec un plug dans les fesses. Je trouve, poursuit Marie, qu'elle révèle vraiment ton identité.
    Tu te tiens à la table, tu avais beau t'y attendre, c'est un choc. Tu perds pied, c'est ce que tu voulais, mais c'est plus fort que toi, tu blêmis.
    Elodie s'empare de la lettre que tenait Sylvie, (une lettre censée se trouver dans ton sac) et commence la lecture à haute et intelligible voix.
    - Je suis une femme de presque 40 ans, divorcée, habituée à commander, je suis aide-soignante du genre plutôt autoritaire. Pourtant, ce que tout le monde ignore, mes proches, mes patients, c'est que je suis une grosse vicieuse.
    - C'est vrai que je me demande ce qu’ils diraient s'ils voyaient ces photos, poursuit Elodie. Au fait, les choses ont changé, tu me vouvoies. Ok ?
    Ce n'est pas une demande, c'est une décision sans appel.
    - Oui... Si vous voulez.
    - Bien, alors répond à ma question, que penseraient-ils si ils voyaient tes photos écartelée et ligotée sur ton lit, car c'est ton lit en plus ?
    - Oui
    - Oui qui ? Oui quoi ? Reprend Elodie d'une voix autoritaire.
    - Oui Elodie, tu as raison (elle te foudroie du regard) Pardon, (tu baisses les yeux tellement tu as honte, tu sais qu’Elodie connaît ta fille et tu n’as qu’une crainte qu’elle répète ce qui se passe ce soir), vous avez raison, je suis bien sur mon lit.
    Ta voix est un murmure, tu as même des sanglots au fond de la gorge. Tu es émue à un point que tu n'aurais jamais imaginé d’être obligée de te rabaisser devant cette gamine. Je prends la parole.
    - Lève la tête et regarde nous !
    Tu obéis, bien sûr, l'air abattu, les larmes aux yeux.
    - Elle fait moins la fière maintenant, renchérit Elodie en relisant le passage de ta lettre où tu te présentes ainsi. « Sous des dehors de femme polie et bien élevée, je rêve d'être insultée et rabaissée. On me dit froide et parfois hautaine ou arrogante, j'aimerais que l'on me rende humble et soumise.»
    - Alors c'est ça qui te fait mouiller ? Relance Elodie en levant les yeux de la lettre et en te souriant d'un air narquois. Etre insultée, rabaissée, soumise ?
    - Elodie s'il vous plaît, rendez moi cette lettre !
    Il s'agit d'une lettre que je t’ai fait écrire de ta main, tu as peur que l'on reconnaisse ton écriture, mais cette lettre te trahit plus que des photos anonymes.
    - Te la rendre sûrement pas ! Pas tout de suite en tous cas... Il va falloir être très gentille avec nous sinon... Tes collègues vont très vite en recevoir une copie.
    - Oh mon dieu non !
    Marie que tu n'as pas vu s'approcher passe une main sur ta poitrine. Tu sursautes mais demeure ensuite pétrifiée, le souffle coupé.
    - Mais nous aussi on veut ton bien, on va exaucer tes désirs, tu vas aimer, dit elle en te malaxant le sein violemment. (Tu grimaces mais ne dis rien) Pas vrai qu'on va exaucer ses désirs ?
    - Ca c'est sûr, écoute ce qui fait mouiller cette salope, tu vas aimer.
    Et Elodie reprend la lecture de ta lettre : « Je me masturbe tous les jours comme une cochonne, parfois même dans les toilettes de la maison de retraite, je m'enfonce des godemichés, des plugs et des vibromasseurs. »
    - Putain quelle salope ! Je ne te connaissais pas sous ce jour, s’esclaffe Marie.
    - Attendez, attendez, reprend Elodie. Ecoutez la suite : « Pour vous prouver la véracité de mes dires, je me suis branlée tout l'après midi en écrivant cette lettre, simplement en imaginant les châtiments que vous m'infligeriez après sa lecture. Et si cela ne suffisait pas à vous convaincre de mon extrême perversité, il vous suffit de me déculotter pour vous rendre compte à quel point je suis une femme dépravée. N'hésitez pas à me punir durement, à me donner la fessée que je mérite. »
    - L’aide soignante qui se prend une fessée, c'est trop top ! Glousse Sylvie. Je le crois pas...
    Tu es morte de honte. Tu te renfrognes en baissant la tête.
    - Putain quelle salope ! Répète Marie, cette fois en te tordant les seins.
    Tu trembles et passes du blanc cadavérique au rouge vif. La chaleur t'envahit tout le corps. Mais cette fois, la peur engendre l'excitation.
    Tu es prise au dépourvu, tu n’as plus prise du tout sur les événements mais c'est ce qui t'excite de plus en plus.
    - Tu veux savoir ? T'es une vraie chienne, conclut Elodie.
    Sylvie, de plus en plus excitée par la situation, ajoute d'une voix perfide.
    - Mais une chienne, ça se déplace à 4 pattes, non ?
    Elle laisse apparaître un large sourire et je décide de rompre le silence.
    - Il me semble que Sylvie t'a demandé de te mettre à 4 pattes ?
    Tu joues les vierges effarouchées en poussant un « oh » d'indignation.
    Tu hésites et tu décides de me pousser dans mes derniers retranchements, persuadée que je vais prendre autant de plaisir que toi à te briser... Car l'issue ne fait évidemment aucun doute.
    - Quoi ! Tu vas pas faire ta mijaurée, c'est bien toi qui a écris que tu voulais être rabaissée et insultée ?
    - Oui mais...
    - Il n'y a pas de mais, tu l’as écris, alors c'est le moment, fous toi à quatre pattes ou je te jure que j'envoie ta lettre à tout le monde ! 


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  • Lien vers un film sympa dans lequel une belle brune en tailleur se trouve pendue au plafond par les mains, les jambes écartées et immobilisées.

    Elle sera d'abord fouetté par un homme qui la déshabillera petit à petit pour que le fouet face plus d'effet. Tout ça sous le regard narquois d'une petite blonde qui s'exercera elle aussi au maniement du fouet. Pour finir notre belle brune quasiment à poil finira à quatre pattes pour bouffer la chatte de sa tortionnaire.

    Un film de 20 minutes.

    http://www.fileserve.com/file/MRQu9NU


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  • Notre échange du 13 mars

    Bonjour Cath,

    Tout d'abord, mais je te l'ai déjà dit (c'est à croire que tu ne m'écoutes pas) je ne juge et n'interprète jamais et je suis parfaitement conscient que les fantasmes sont nécessaires. Mon métier comporte une grande part de psychologie comportementale, tout ça pour te dire que si tu veux me choquer, je ne penses pas que tu puisses y arriver tant que ça concerne des adultes consentants. 
    Nous allons procéder différemment si tu le veux bien. Je vais t'envoyer des situations de plus en plus chaudes et n'hésite pas à me guider. Cette fois, tes tortionnaires seront des femmes mais dis-moi ce que tu préfères. L'idéal serait que tu me donnes des prénoms de gens que tu voudrais faire entrer dans tes fantasmes. Tu remarqueras que très souvent, dans ces cas-là, on choisit les noms de personnes avec qui justement ça ne peut rester que des envies...
    C'est d'accord, tu auras à la fois la bise et la fessée !!!!


    Ce qui devait arriver arriva, un soir où tu surfais sur quelques sites de femmes soumises en prenant bien soin d'effacer tes traces à chaque fois pour que je ne découvre pas ce penchant, je suis passé te voir et t’ai surprise.
    Tu ne t’es rendu compte de ma présence qu'au dernier moment, j’étais debout derrière toi et on voyait sur l'écran une femme en train de se faire fesser par son homme.
    - Je crois qu'il faut qu'on se parle.
    Tu n’as guère le choix vu les circonstances, tu es rouge comme une pivoine.
    - Suis-moi au salon ! Je pense que tu mérites une bonne leçon.
    Très sûre de moi, je te fixe :
    - Bon, nous sommes bien d'accord, je fais ce que je veux avec toi...
    Je m'assieds sur une chaise et te fais un petit signe pour que tu approches.
    Je te tire en avant et tu te retrouves rapidement couchée en travers de mes genoux, puis tu sens ma main s'abattre sur ton jean.
    Je commence à te frapper les fesses doucement, tu te dis que finalement c'est plus un jeu qu'une véritable punition jusqu'à ce que j’arrête et te dise :
    - Bon, maintenant à poil.
    Tu te lèves et t'exécutes, je te tire de nouveau sur mes genoux et commence une fessée beaucoup plus dure. Une déferlante de claques arrive sur tes fesses. Tu commences à gémir et à gigoter dans tous les sens, cette fois tu as vraiment mal.
    - Arrête de bouger ou ça va mal se terminer pour toi !
    Mais c'est plus facile à faire qu'à dire, tu te débats tellement que tu finis par glisser de mes genoux et te retrouve par terre. Je te regarde intensément avant de dire.
    - Ma petite, j'ai décidé de te punir jusqu’à ce que je décide d'arrêter mais de toute façon pas avant que tes fesses soient bien écarlates.
    Tu es maintenant sur le tapis devant moi.
    - Mets toi sur le ventre !
    Tu obéis, j’écarte tes jambes de la pointe de mes chaussures, bien comme il faut de sorte que ton cul et ton entrejambe soient parfaitement offerts à ma vue. Tu essaies de résister car là, la honte est forte.
    - Mauvais point. Je voulais juste voir ton cul. Puisque c'est comme ça, tu ne bouges pas, je reviens.
    Tu ne bouges plus mais tu m’entends partir dans la salle de bain, en revenant je débarrasse la table basse du salon.
    - Lève toi et viens là !
    Tu te relèves.
    - En position !
    La table basse accueille maintenant...la brosse à cheveux.
    Je pointe l'index sur la table basse, tu te courbes dessus. J’attache tes chevilles et tes poignets avec la corde à linge de sorte que maintenant, tu as les fesses bien offertes à mon regard. Tu vois ma main saisir la brosse qui était tombé à terre quand tu avais pris position sur la table.
    La brosse caresse d'abord ton dos puis l'intérieur de tes cuisses. Juste un effleurement doux pour que tu sentes la menace. Puis je prends du recul et le globe de tes fesses se met à te brûler.
    - Maintenant, je veux que tu pleures.
    Les coups s'enchaînent de plus en plus vite, de plus en plus fort, et tu ne peux plus tenir, Tu cries...
    - Oui, c'est ça, pleure.
    Je dose les coups, la correction dure, tu as les fesses en feu. Tu ne cherches même plus à retenir tes larmes, tu gigotes comme une forcenée dans tes liens.
    Lorsque les coups cessent, je te détache.
    - Ne crois pas que tu vas t'en tirer à si bon compte...
    Tu n'oses rien répondre.
    - Maintenant, si tu ne veux pas que ça recommence, tu vas m'obéir aveuglement pendant tout le week-end.
    A peine ta correction terminée, je t'emmène devant l'ordinateur, les pages que tu visionnais sont toujours à l'écran.
    - Montre-moi l'historique, que je sache ce qui t’excites.
    Nous faisons ensemble le tour des sites que tu as visités la veille, les pages se suivent avec la plupart du temps des femmes dominées, fessées, enculées...
    Tu es toujours nue à côté de moi et tu sens mon doigt s'insinuer entre tes fesses.
    - Crois-moi, tu vas avoir droit à la totale. Mets-moi l'adresse de tous ces sites en favoris.
    Les choses ont au moins le mérite d'être claires maintenant, tu vas devoir obéir. Tu te doutes que je vais désormais m'en donner à cœur joie.
    - Bon, maintenant je te laisse, je reviens demain matin.
     
    Le lendemain matin, nous sommes samedi, j’arrive tôt chez toi et je  profite du petit déjeuner pour faire une mise au point.
    - Elle t'a plu notre séance d'hier ?
    Tu ne sais trop que répondre, tu baisses la tête.
    - Tu sais que c'est le week-end et que nous sommes seuls pendant deux jours.
    Tu acquiesces.
    Je t'annonce que je vais te concocter un programme conforme aux sites que tu regardais la veille.
    - Et on va commencer tout de suite. A poil !!!
    Une fois nue, je te fais prendre diverses poses. Debout penché en avant en écartant tes fesses, je reluque ton petit trou avant d'enfoncer un, puis deux doigts dedans. Je recommence cette opération dans d'autres postures comme à 4 pattes ou couchée sur le dos jambes en l'air. Mon sourire démontre ma satisfaction de te voir ainsi soumise et nue à ma merci.
    - Debout !
    Je te plante un doigt dans le cul et te fait marcher en te guidant avec mon doigt profondément enfoncé jusqu'à la salle de bain pour que tu te voies dans le miroir.
    - Regarde comme t'es mignonne avec mon doigt dans le cul...
    Cette vision te déclenche aussitôt un spasme fulgurant.
    - Je te vois que ça te fait de l'effet. Je te préviens, si tu jouies, tu vas morfler. Bon, maintenant tu débarrasses la table et tu fais la vaisselle.
    Je te tends le tablier et te demande de l'enfiler.
    - Tu le gardes, tant qu'on ne sort pas.
    Quand tu reviens, je suis sur le canapé, devant la télé. Tu as gardé le tablier mais tu as renfilé un slip. Je te regarde avant d'annoncer la suite.
    - J'ai invité Elodie à l'apéritif, je crois que tu vas devoir te montrer comme ça devant elle.
    Elodie est une de tes amies qui vit seule avec sa fille (excuse moi, je ne connais pas les prénoms de tes amies).
    - Écoute, elle n'a pas à entrer dans mon intimité...
    - Alors tu recules déjà...
    - Non mais...
    - Ne t'inquiète pas, ma petite, je l'ai mise au courant...et figure-toi que ça l'amuse plutôt...
    Mes mains se saisissent de ton slip que je te rentre dans la raie des fesses, découvrant les globes.
    - Elodie vient avec Martine, j'espère que ça ne t'ennuie pas.
    La situation est humiliante. Désormais, les dés sont jetés. La sonnette de l'entrée annonce tes visiteuses. Je vais ouvrir, tu entends les voix familières puis les embrassades. Tu sens les regards qui se posent sur toi.
    Elodie se plante devant toi... Confuse, tu tentes une parole.
    - Ne dis rien ma vieille, on te demande juste d'obéir...
    Les jeux sont faits on dirait.
    Debout au milieu de la pièce mains sur la tête, tu dois écarter les jambes. Tu n'as plus envie de rien dire, le rouge te vient aux joues et aux oreilles.
    Puis, je t’ordonne:
    - Baisse les yeux !
    Un petit jeu s'instaure alors et je demande ce qu'on devrait te faire. C'est Martine qui ouvre les débats en proposant...la fessée. Tu t’y attendais un peu mais tu n'imaginais pas que le scénario était aussi bien arrêté. Elodie reprend :
    - Oui bien sûr mais d'abord il faut que l’on dose la punition.... Cath, tu vas répondre à quelques questions.
    Les questions sont du genre à t'obliger à admettre tes torts et tes bêtises. Au bout d'une demi-heure de questions, nous nous retirons sur le balcon. Tu ne distingues pas nos paroles. Quelques rires... Puis nous revenons nous installer sur le canapé. J’ai pris une chaise et je me suis installé devant elles.
    Martine qui pourrait être ta fille passe derrière toi, je lui fais un petit signe et elle baisse ton slip juste derrière, ainsi tes fesses sont maintenant complètement découvertes. Elle retourne sur le canapé. Je te dis :
    - Sers nous à boire !
    Tu dois nous demander ce que nous désirons puis te pencher pour servir ce qui découvre tes fesses à chaque fois. Tu es ensuite allongée à plat ventre. Tu entends Elodie dire à sa fille :
    - On enlève tout.
    Tu sens les mains de Martine sur tes hanches et ton slip qui descend. Une fois nue, elle prend tes jambes et les écarte, que ce soit une gamine qui te fasse subir ça te met la honte, tu as envie de tout arrêter et tu essaie de resserrer les jambes mais elle te met aussitôt deux grandes baffes sur les fesses.
    - N'y pense même pas. Ecarte tes jambes qu'on puisse voir ton cul !
    Tu n'en reviens pas que cette gamine puisse être aussi vicieuse. Je leur ai expliqué ce qui s'est passé la veille et elles comptent bien en profiter toutes les deux. Elles t'expliquent le programme, tu vas commencer par être fessée tour à tour par chacun d'entre nous, 20 claques chacun, puis retour sur la table basse pour finir.
    Elodie commence à te fesser méthodiquement, comptant chaque coup à haute voix et alternant fesse gauche et fesse droite. Le démarrage est progressif et tu ne bronches pas durant les 12 premières claques. A la treizième, peut-être un peu plus vigoureuse que les précédentes, tu as le réflexe d'intercaler ta main droite bien à plat pour protéger ton postérieur endolori. Elle te saisit les deux poignets et continue d'administre le châtiment.
    Je te fais subir sensiblement le même sort, jusque là, tout va bien mais c'est la gamine que tu crains le plus. Déjà le simple fait de devoir t'allonger nue sur ses genoux t'est insupportable, c’est une copine de ta fille tout de même.
    Tu y vas lentement en essayant de cacher ton intimité derrière tes mains.
    - Magne-toi et enlève tes mains !
    A ta plus grande honte, tu te retrouves allongée sur ses genoux, le cul à l'air. Elle me demande si elle peut te faire ce qu'elle veut.
    - Vas-y ma grande, elle est à toi pour 20 coups, fais ce que tu veux.
    Tu t'allonges. Elle t'empoigne et te demande d'écarter tes fesses pour voir si elles sont propres ce que tu refuses pensant que je vais te soutenir. Quatre coups s'abattent à toute volée sur tes fesses qui te cuisent déjà.
    - Tu crois que tu as le choix. Ces 4 là, elles comptent pas de toute façon. Maintenant écarte !
    Tu poses tes mains de part et d'autre de tes globes et tu fais ce qu'elle te demande. Aussitôt son doigt se plante dans ton cul sous nos rires. Tu as l'air maligne allongée à poil sur les genoux d'une gamine en train de te doigter. La honte est trop forte, tu essaies de nouveau de te dégager, son doigt ressort aussitôt suivi de 4 nouveaux coups.
    - Ca compte toujours pas. Ecarte ou ça va chauffer pour ton cul !
    Cette fois, c'est deux doigts qui te pénètrent et e fouillent quand elle les ressort, elle nous les montre.
    - Elle a l'air d'être propre.
    Elle prend son élan, te maintient à la nuque d'une main ferme et te fesse brutalement, rapidement. Tu ne pleures pas, tu cries de rage. Tu l'insultes. Les coups redoublent plus forts.
    Tu serres les dents, histoire de montrer ta résistance, par contre, tu remues, te tortilles sous ses coups sauvages. Elle frappe pour te faire souffrir.
    - Tu vas voir si tu vas continuer à me résister !
    Tu te débats, tente de te libérer mais elle te maintient à plat ventre fermement avec son autre main. Tu as envie de lui dire qu'elle a donné beaucoup plus que les 20 coups prévus.
    Cette fois, tu n'en peux plus, tu l'implores.
    - Oh, aïe, assez, je t'en prie.
    - Tu comprends enfin qui commande !
    - Je te demande pardon. Arrête, j'ai trop mal.
    - J'aime mieux quand tu es comme ça, ça me plait. Vas-y, écarte encore tes fesses.
    Elles sont brûlantes mais tu n'hésites pas et tu obéis.
    - Allez, descends et va te foutre au coin avec les mains sur la tête.
    Tu y vas sans rechigner, tes joues sont aussi rouges que tes fesses. Elodie et sa fille sont pressées mais il est convenu qu'elles reviennent ce soir pour te « tester » et nous partons tous les trois discuter à la cuisine.
    Je reviens quelques minutes plus tard et t'explique que ce soir, on va mettre en scène un de leurs fantasmes. Elodie viendra avec sa sœur Christiane, officiellement pour assister à une formation sur ton métier. Tu seras tout le début de soirée la maîtresse du jeu mais tu auras une surprise à un moment donné.
    - Joue le jeu parce que Christiane n'est au courant de rien mais Elodie est sûre que ça va lui plaire.
    L'heure fatidique approche, la mise en scène a été simple puisque tu possèdes une grande pièce que nous avons rapidement aménagée en salle de classe avec mon matériel.
    On te présente Christiane, une grande brune charmante, beaucoup plus jeune que sa sœur, ce qui fait que tu te retrouves avec deux gamines sur les bras. Tout le monde s'installe dans la salle de formation et ton cours commence. Tout se passe bien jusqu'à la pose, Je te propose d'aller chercher le plateau que j’ai proposé dans la cuisine.
    C'est à ton retour que tu comprends où est le piège, l'écran montre les différents sites que tu visitais la veille et tu entends les filles discuter entre elles. Bien entendu, j’ai choisi les sites les plus hard, la situation a basculé. Tu décides de vivre ce fantasme.
    Tu regardes les yeux de Christiane qui font un va et vient de toi à l'écran, visiblement elle ne sait que penser mais la situation n'a pas l'air de lui déplaire. Bien entendu, c'est Martine qui ouvre les débats en ayant l'air étonné.
    - Ah, elle cache bien son jeu la prof !
    - Alors c'est ça qui te fait jouir ? Lance Christiane en te souriant d'un air narquois. Etre insultée, rabaissée, soumise ?
    - Putain quelle vicieuse !
    - Attendez, attendez, reprend Christiane. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais si tout le monde est d'accord, on pourrait lui donner ce qu'elle demande.
    J’acquiesce avec un sourire.
    - Je n'y vois pas d'inconvénient, qu'est-ce que tu proposes ?
    Ce qui t'étonne le plus c'est que ce soit Christiane qui mène la danse.
    - Commençons par le début, une fessée !
    - La prof qui se prend une fessée, c'est trop ! Glousse Martine. Je n'y crois pas...
    Tu es en face de nous à nous regarder sans oser bouger ou prendre la parole, de peur de nous déranger. Christiane a les yeux qui pétillent d'excitation, mais c'est Elodie qui décide de rompre le silence.
    - A poil prof, mais garde ton slip.
    Tu commences par ôter tes chaussures et tes bas. Le chemisier vient ensuite.
    - Allez, plus vite que ça.
    Je ramasse tes affaires à mesure et les jette dans un coin de la pièce. La jupe et enfin le soutien-gorge suivent le même chemin. Tu es maintenant devant nous, dans la tenue que nous avons souhaitée ...
    - Tiens, regarde et prends modèle.
    Tu découvres à l'écran la photo d'une femme, debout, jambes écartées, mains sur la tête. Pour toi, il est trop tard pour reculer. Christiane te fait un petit signe pour que tu approches et baisse ton slip juste derrière, ainsi es fesses sont maintenant complètement découvertes.
    - Allonge-toi à plat ventre.
    Tu sens des mains se saisir de l'élastique de ton slip et le faire glisser jusqu'à tes chevilles. A ce stade tu as envie d'arrêter tout mais tu ne le peux plus.
    - Tu vas recevoir le martinet jusqu'à ce que tes fesses soient bien écarlates.
    Martine écarte tes jambes de sorte que ton cul et ta chatte soient parfaitement offerts à la vue. Tu essaies de résister car là, la honte est forte. Mauvaise idée, ton slip est parti.
    Tu nous entends débarrasser la table basse du salon. Puis je t'ordonne :
    - En position !
    Tu te relèves. La table basse accueille maintenant...un martinet de cuir tressé. Je pointe l'index sur la table basse, tu te courbes dessus. Tes chevilles et tes poignets sont attachés avec des sangles de sorte que maintenant, tu as les fesses bien offertes à nos regards. Tu apprendras par la suite que c'est Elodie qui a amené les sangles, le martinet et beaucoup d'autres accessoires que tu n'allais pas tarder à découvrir. Je dis :
    - Christiane c'est ton idée, à toi l'honneur.
    Tu vois sa main saisir le martinet. Puis les lanières caressent d'abord ton dos puis l'intérieur de tes cuisses. Juste un effleurement doux pour que tu sentes la menace du cuir tressé sur tes chairs. Puis Christiane prend du recul et l'intérieur de tes cuisses, écartées par Martine, est cinglé. Après, c'est le globe de tes fesses qui est soumis à la morsure des lanières de cuir. Elle dose les coups et fait durer la correction. Lorsque les coups cessent, nous te détachons.
    Martine intervient alors.
    - Des excuses publiques !
    Tu te mets à genoux devant nous et demande pardon. Je t'ordonne alors de servir l'apéro à tout le monde. Tu sers bien gentiment et, comme je te l’ai demandé, tu nous dis merci pour cette fessée bien méritée.
    Martine (encore elle) croit bon d'en rajouter en te demandant de te mettre à califourchon sur la table pour qu'on puisse observer le résultat de la fessée en sirotant tranquillement nos verres.
    Tu hésites et tu reçois un cinglant rappel de martinet histoire de te faire sentir que t’as intérêt à nous satisfaire. Tu te retrouves à califourchon sur la table les fesses rouges. Christiane tend le martinet à Martine.
    - Tiens, elle n'avait pas à hésiter quand tu lui as demandé de se mettre sur la table.
    Tu bafouilles :
    - Excuse-moi Martine, je ne désobéirai plus.
    Je pose ma main sur ta nuque et tu reçois vingt coups de martinet supplémentaires. Après ces vingt coups, Martine te demande :
    - Alors tu nous obéis sans discuter ou pas ?
    - Oui, je te demande pardon pour tout à l'heure.
    - Qu'est-ce qu'on en fait ?
    - Fais la mettre à 4 pattes au milieu de la pièce, le cul face au canapé.
    - T'as entendu ?
    Tu réponds que oui et tu prends la pose pour que nous puissions admirer ton fessier bien rouge de nos œuvres.
     - Te voilà enfin à ta place ! Jubile Christiane.
    - Ah elle est belle la prof, s'esclaffe Elodie.
    Nous nous mettons alors à rire et tu ne comprends que lorsque Martine exhibe un gode ceinture. Elle le tient et fait mine de se masturber.
    - Allez, ordonne Christiane. Va sucer la queue de ma nièce !
    Tu te diriges alors à quatre pattes vers Martine qui te frappe le visage avec le gode au moment où tu t'apprêtes à le prendre en bouche. Tu ouvres grand la bouche en guise de soumission.
    - T'es une vicieuse qui aime tailler les pipes, dit Martine en te présentant le gode sous le nez. Allez vas-y dis le !
    - Je suis une vicieuse qui aime tailler les pipes.
    Christiane te pousse en direction du gode à engloutir, tu manques de t'étrangler lorsque Martine enfonce le gode au fond de ta gorge.
    - Regardez comme elle suce bien.
    Tu sens une main qui fait pression sur ta nuque pour garder le gode en bouche et une autre qui te palpe les fesses. Tu essaies de résister et tu reçois une volée de claques sur les fesses. Tes protestations sont étouffées par le gode.
    Les claques, un peu molles au départ, redoublent de violence sous les encouragements de Christiane.
    - Tu peux y aller, relève Martine. Elle suce bien mieux quand tu la fesses !
    La fessée s'arrête et un doigt s'insinue dans ton cul.
    - Elle aime ça, la salope.
    Et maintenant, le week-end du récit n'est pas fini, dis-moi si l'on garde les mêmes protagonistes ou qui je dois faire intervenir.
    Dis-moi surtout, si l'on va plus loin dans ta soumission, si l'on reste à ce niveau ou si l'on régresse un peu...
    En attendant, j'espère que ça t'excitera.
    Bises

     


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  • Pour vous mettre dans l'ambiance, mon pseudo est Père Fouettard.

    Ce blog est le reflet fidèle de ma relation avec Cath. Tout le début de ce blog sera dédié à mes échanges épistolaires avec elle depuis début 2010.

    Vous trouverez beaucoup de fantasmes au début, puis quelques réalisations par personne interposée. Car si ma relation avec Cath est intense, elle souffre d'un défaut majeur, nous habitons à plusieurs milliers de kilomètres l'un de l'autre. Mais je pense que cet état de fait devrait changer bientôt... J'ai très envie de me rapprocher "physiquement" d'elle, bien sûr, je vous tiendrai au courant.

    Pour commencer, voici un des premiers mails qu'elle m'a envoyé le 12 mars 2010.

    bonsoir Pere fouettard
    je sais pas jusqu'ou mes fantasmes me pousserais, vous savez mon pseudo reflete un peu ça  .....
    dois-je vraiment  vous ecrire tout les fantasmes qui me passe par la tete ou que ceux liés a la fessée ?? et doisje vraiment me devoiler en vous les confiants  ?? vous allez me prendre pour une folle lol
    je sais que je meriterais une fessée pour mettre caressée mais bon je peux avoir la fessée et une bise aussi lol
    bises ( avec un s car je vous en fais plusieur)
    Cath


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