• Tu viens de nous supplier de garder pour nous tes vices cachés, tes fantasmes de soumission.
    Puis en les observant, je vois Marie qui se saisit du gode ceinture de Sylvie.
    - Il est trempé, constate Marie. T'as pissé dessus ou quoi ?
    Mon regard tombe alors sur le plug qui est resté sur la table basse du salon. Je passe la laisse dans le string que tu n'as toujours pas quitté.
    - Tu vas aller chercher le joujou qui est sur la table, là bas, tu vois de quoi je parle ?
    - Oui Maître, je vois très bien.
    Tu te diriges à 4 pattes vers la table basse et au moment de prendre le gode, je te tire les cheveux.
    - Tu es à 4 pattes alors tu prends le plug dans ta petite bouche !
    Mon regard noir te toise, je te domine totalement, tu es mon jouet…
    Tu saisis alors le gros plug en plastique entre tes dents et le rapporte à Marie, à 4 pattes bien sûr. Tu te sens vraiment humiliée, surtout quand Sylvie, entre deux rires, a lâché d'un air vraiment moqueur.
    - Putain quelle conne, elle le fait ! Elle sait qu’elle va le prendre dans le cul mais elle le fait quand même, j’y crois pas.
    Tu déposes le plug entre les mains que Sylvie te tend, elle te remercie en te caressant les cheveux.
    - Brave fille, fait elle. Puis elle lance le plug à l'autre bout de la pièce. Allez va chercher !
    Son geste, qui nous surprend tous, déclenche, une fois la surprise passée, une avalanche de rires.
    Dès que tu le ramènes, Elodie prend le gros plug, écarte ton string et le place entre tes cuisses, à quelques centimètres de ta chatte.
    - Allez, tu sais ce qu'il te reste à faire !
    Tu ne discutes même pas. Tu prends le plug et le place sous tes fesses. D'une main, tu le guides à l'entrée de ton sexe, de l'autre tu gardes le string écarté.
    - Vas-y empale-toi !
    Le plug est d'une taille très honorable, mais tu coules de plaisir.
    Je sais par expérience que tu ne vas pas avoir à forcer pour l'accueillir. Tu t’installes au dessus de l'engin et doucement tu t’empales dessus.
    Les moqueries cessent à l'instant où l'extrémité du plug pénètre ton intimité. Il y a alors comme un silence religieux, comme respectueux de ta prouesse à tout prendre en toi.
    Sylvie semble se demander si tu vas être capable de te fourrer un engin si gros dans la chatte.
    - Allez ! Debout ! Ordonne Elodie aussitôt le plug disparu dans ta chatte.
    Tu te lèves doucement pour ne pas laisser échapper l'objet de ton fourreau trempé.
    - Tu vas nous préparer à bouffer, je commence à avoir la dalle, poursuit Elodie.
    Sylvie et Marie pouffent aussitôt de rire.
    - Ouais, c'est trop cool, qu'elle aille nous faire la cuisine, mais à poil !
    - Et en gardant le plug dans la chatte !
    Tu te diriges alors vers la cuisine en serrant les cuisses. Ta démarche ridicule attire de nouveaux rires. Mais tu y es bien obligée si je ne veux pas perdre le plug en marchant.
    Tu es si excitée depuis des heures que ton entre jambe est trempé. Evidemment, ce qui devait arriver arriva... Et à ta plus grande honte, et... plaisir... Le plug glisse de ta chatte. D'un coup, couvert de ta mouille, il s'extirpe de ton sexe et se retrouve entre tes cuisses, coincé au niveau des genoux. Tu te sens ridicule et pique un fard extraordinaire.
    Nous éclatons de rire. Tu ne sais plus où te mettre, ni quoi faire. Dois-tu repositionner le plug dan ton vagin inondé, au risque qu'il retombe ? Tu demeures immobile, tête baissée, cuisses serrées pour éviter de laisser tomber l'objet de ta honte.
    J’interviens aussitôt, l’occasion est trop belle.
    - Les filles j'ai une idée ! Elle n'a qu'à se le mettre dans le cul !
    Tu vois tout de suite dans le regard d’Elodie qu'elle n'attendait que ça, mais Sylvie fait de gros yeux impressionnés. Le plug est gros et elle doit penser que tu en es incapable.
    - Eh bien qu'est-ce que t'attends ! Fous toi le plug dans le cul!
    - Oui Maître, tout de suite...
    Ce n'est pas une question, mais je te rétorque avec insolence.
    - Non demain, évidemment tout de suite ! Et magne toi un peu, je commence à avoir la dalle !
    - Attends, je vais l'aider ! Intervient Marie en riant.
    Tu ne bouges pas, passive et soumise jusqu'au bout, tu regardes Marie s'approcher de toi avec un air de triomphe. Tu la laisses prendre le plug toujours entre tes cuisses et quand sa main t'incite fermement à te courber, tu es déjà résignée à laisser ta copine te le mettre elle-même dans le derrière.
    Tu te penches, instinctivement tu te contractes quand tu sens l’engin devant ton petit trou. Marie a beau appuyer, le plug ne veut pas rentrer.
    - Elle veut pas se laisser faire !!
    Je lui envoie un martinet en lui expliquant qu’une bonne correction devrait te rendre plus docile. Les deux autres filles participent aussi, tout à tour, elles te tiennent puis te fessent au martinet. Je vois à tes yeux qu’il faut que la correction arrête, je sais que tu ne supporteras pas le traitement beaucoup plus longtemps.
    - Arrêtez les filles, maintenant elle va se laisser faire.
    Marie passe une main sur tes fesses bien rouges.
    - Son cul est bien chaud, dit elle en riant. Puis elle passe un doigt sur ton petit œillet, qui à ta plus grande honte, s'ouvre aussitôt pour l'accueillir.
    Elle retire le doigt et dans ta rondelle bien ouverte, tu sens couler un liquide tiède. Marie au dessus de tes fesses vient de cracher sur ton trou du cul. Elodie et Sylvie éclatent de rire.
    Un nouveau crachat te tombe dans la raie. Puis un autre, c'est Elodie, qui s ‘est approchée et qui laisse échapper un long filet de salive. Un doigt dont tu ignores s'il appartient à Elodie ou Marie t'étale la salive au plus profond des fesses.
    Aussitôt, tu sens l'extrémité du plug pousser sur ton anus.
    Il est énorme, je suis étonné qu'il rentre aussi facilement. La salive n'explique pas tout, ton excitation y est pour beaucoup.


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  • J’interviens, je me contente de surveiller le jeu, j’adore ça…
    - Elle aussi ça l'excite. Regardez comme elle mouille…
    Je fais sauter un nouveau « verrou » en passant une main sur ta chatte.
    Elodie encourage Sylvie et sa mère à aller toujours plus loin, en franchissant elle-même de nouveaux caps. Elle m’épate cette gamine.
    Je tends ma main humide de ton plaisir à Marie pour qu'elle la sente.
    - Ca sent la grosse cochonne, se moque Marie.
    Sylvie pouffe de rire tandis que Marie, qui veut constater d'elle-même l'excitation qui perle le long de ta chatte, s'accroupit derrière toi et te glisse un doigt dans le string. Il est imbibé de mouille.
    - Putain on dirait qu'elle a pissé dedans !
    Son doigt s'insinue dans tes chairs, pénètre ton sexe poisseux, et tu gémis en t'agrippant aux hanches de Sylvie pour ne pas recracher à nouveau le gode que tu ne finis plus de sucer.
    - Ouais, branle la cette chienne, lance Sylvie en sentant tes mains sur ses hanches. Elle aime ça ! Ah elle est belle notre copine... à se faire doigter par nous devant ta fille !
    - Oui, et elle a reçu une belle fessée ! Ajoute Elodie. Elle a le cul bien rouge.
    - Et elle aime ça, je vous jure, jubile Marie qui a maintenant deux doigts dans ta chatte.
    - Il lui faudrait quelque chose de plus gros, propose Sylvie en prenant le gode en main et en faisant mine de le branler.
    - Ouais, ça c'est une idée, baises la à fond, encourage Marie. Je suis sûre qu'elle en a envie !
    Les choses deviennent intéressantes, je ne peux que pousser le jeu.
    - Réponds, t'as envie de te faire baiser par Sylvie ?
    Il y a un plaisir immense à transgresser un interdit : celui de baiser et humilier leur copine... Tu ne peux évidemment pas leur refuser ce plaisir... Et à moi non plus d'ailleurs.
    - Oui Maîtresse Sylvie, baisez moi, j'en ai envie.
    Elle ne se fait pas prier. Elle passe derrière toi et pointe aussitôt le gode entre tes cuisses. Elle écarte ton string mais ne le retire pas. Tu te cambres pour mieux l'accueillir et lui montrer si elle doutait encore que tu n'attends que ça. Ton attitude provoque de nouvelles railleries. Mais plus elles se moquent, plus tu mouilles. La situation est des plus humiliantes : de copine tu es devenue leur esclave... En chaleur qui plus est. Le gode pénètre doucement dans ta chatte trempée. Un vrai délice... Tu soupires, tu gémis... Le gode est gros, veiné, il te comble... Sylvie s'extasie de le voir pénétrer si facilement.
    - Putain les filles, vous avez vu, il est rentré comme dans du beurre !
    Et pour ponctuer la remarque de Marie, tu lâches un vrai gémissement à la limite de la jouissance. Sylvie a commencé ses va-et-vient. D'abord doucement, puis plus rapidement. Tu pousses un petit cri de plaisir à chaque fois que le gode vient heurter le fond de ton vagin. Tu te sens impudiquement offerte... A 4 pattes, prise en levrette par ta copine. Sylvie, un peu hésitante au départ, commence à s'affirmer, à t'imposer une cadence plus virile. Elle pose ses mains sur tes hanches et s'enfonce en toi plus rapidement, plus violemment. Tu mouilles comme une folle, tu sens ton jus qui s'écoule le long de tes cuisses, tu n'arrêtes plus de gémir. Il y a tellement de tension en toi depuis cette fin d'après midi où tu appréhendais le jugement de tes invités que tu en oublies maintenant qu’il y aura sans doute des conséquences pour toi dans l’avenir.
    C'est une vraie libération de pouvoir exprimer ta jouissance. Tu n'as plus à te contenir, l'humiliante situation dans laquelle tu te trouves associée aux aller retour de plus en plus violents du gode qui te laboure la chatte te donne un orgasme extraordinaire.
    La jouissance te fait perdre toute contenance. Tu hurles de plaisir puis tu t'affales sur le sol pour tenter d'étouffer tes cris. Ton orgasme ne passe évidemment pas inaperçu.
    - Vas-y salope, jouis, jouis... t'encourage Sylvie sans cesser de te pistonner.
    Entre deux gémissements, tu parviens à lui répondre :
    - Oui... Oui... Ahhhh....
    Marie et sa fille ont le même regard lubrique et vicieux. Elles parlent de toi, qui te fais baiser par sa copine… Je sais qu’avec ces deux-là, tu ne vas jamais t’ennuyer !!!
    Ton orgasme te fait perdre la notion du temps et du même coup toute notion de décence.
    - Oui, oui... Encore, baise moi... Vas-y prends moi...
    Tu en rajoutes pour mettre Sylvie en confiance et l'inciter à se "lâcher" totalement. Ta jouissance t'y aide aussi beaucoup et d'ailleurs tu la tutoies sans même t'en rendre compte.
    Il est vrai que je prends beaucoup de plaisir au spectacle, je rajoute donc :
    - Vas-y, prends la bien profond ! Fais la gueuler !
    Je m’accroupis à côté de toi pendant que Sylvie n'en finit plus de te baiser. Je te souris d'un air pervers que tu sais dangereux. Je te saisis le menton et te force à me regarder droit dans les yeux.
    - Ca te plaît de te faire prendre comme ça, à 4 pattes sur la moquette ?
    - Oui... Oui... Ca me plaît... Ahhh...
    Je te décoche alors une claque sur les fesses retentissante... Si retentissante que tu en perds l'équilibre. Le gode de Sylvie ressort de ta chatte.
    - Putain, on t’a dit de m’appeler Maître, c'est pas compliqué, merde !
    - Pardon Maître... Pardon, je n'oublierai plus... Vous avez eu raison de me fesser Maître, pardonnez moi...
    - Si tu nous manques encore une fois de respect, je te jure que je dis à tes collègues qui tu es en réalité.
    - Oh non Maître, surtout pas... Je ferai tout ce que vous voudrez.
    - Sinon on envoie tes photos et ta lettre à la maison de retraite, continue Sylvie.
    - Oh non Maîtresse Sylvie, je vous en supplie... Je vais être obéissante, je vous promets.
    - Oui, une vraie petite chienne obéissante, reprend Elodie en te saisissant par le collier.


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  • C'est le moment de vérité. Il faut que tu obéisses. Ma voix autoritaire t’excite tout en te faisant froid dans le dos. Marie, derrière toi, te donne l'estocade en posant une main ferme sur ton épaule et en t'incitant à t'agenouiller. Tu ne résistes pas, tu te mets à genoux.

    - Te voilà enfin à ta place ! Jubile Elodie.
    Tu oses à peine relever la tête tellement tu as honte de te retrouver dans cette posture devant tes invitées. Ton plaisir est à la hauteur de ta honte et à la lueur du regard qui te toise à cet instant, tu sais qu’Elodie est aussi au septième ciel, jamais elle n’aurait imaginé pouvoir dominer la copine de sa mère. Dés lors tout s'accélère.
    - Ah elle est belle la copine, s'esclaffe Marie.
    - J'ai dit comme une chienne à quatre pattes, renchérit Sylvie qui se lève d'un bond pour t'aboyer dessus. Allez obéis, t'es qu'une chienne !!!
    Cela t'excite, tu mouilles, tu obéis au moment où Marie pose le talon de sa botte sur tes fesses pour t'obliger à adopter la posture exigée.
    - Puisque tu es une chienne, tu nous appelleras tous Maître et Maîtresse, ordonne Elodie.
    - Bien Maîtresse.
    - Oui mais tu dois dire Maîtresse Elodie, corrige Marie. Sinon on ne sait pas à qui tu t'adresses, t'as compris salope ?
    - Oui Maîtresse... Marie.
    - Dommage qu'on n'ait pas de laisse, déplore Sylvie, on l'aurait promené à 4 pattes dans l'appartement, comme une vraie chienne.
    - Si il y en a une dans la chambre, dis-je, j’avais prévu d’amener à ton insu tout un attirail pour te soumettre.
    Et Elodie se précipite aussitôt dans la chambre, suivie de Sylvie, qui glousse de plaisir. Le plus drôle, c’est qu’elles sont toutes persuadées que tout cet attirail t’appartient.
    - T'es vraiment soumise à ce point ? Te demande Marie en flattant ta croupe de l'extrémité de son talon. Tu préfères ne pas répondre.
    Elle remonte doucement ton tailleur, fait apparaître la lisière de tes bas et les jarretelles qui les maintiennent. Puis elle abandonne, peut être rassasiée par la vision (furtive) de tes fesses pour se positionner face à toi.
    - Je veux que tu lèches mes pieds ! Ordonne Marie qui profite de l'absence de sa fille pour « prendre les choses en main ». Allez obéis, ajoute-t-elle pour vaincre ton hésitation.
    On dirait que tes copines prennent beaucoup de plaisir à t’humilier.
    - T'es qu'une chienne de toute façon.
    Tu te penches et déposes tes lèvres sur l'extrémité de ses bottes en cuir.
    - C’est bien, à mes pieds. Astique mes bottes, fais les briller et n'oublie pas le talon.
    Tu ne connaissais pas Marie sous ce jour, elle a visiblement une certaine expérience en matière de soumission, cela se sent. C’est pour ça que sa fille et Sylvie n’ont pas été surprises, elles doivent connaître ses penchants. Les ordres lui viennent naturellement, elle t'excite, elle te donne envie de lui montrer qu'elle a raison. De toute façon, à cet instant, tu n’as plus qu'une envie : sombrer dans la décadence absolue.
    Quand Elodie et Sylvie reviennent dans le salon, tu es à quatre pattes en train de lécher le talon de Marie. Nous rigolons tous de te voir sucer la pointe de la botte avec une telle application.
    Je me sens obligé d’en rajouter pour que le jeu évolue plus vite.
    - Regardez comme elle suce bien. Elle doit être bonne à tailler les pipes.
    Elles se mettent alors à hurler et rire comme des hystériques et tu ne comprends leur hilarité que lorsque Marie retire enfin le talon de ta bouche ce qui te permet de relever la tête dans leurs directions. Elodie tient en main un collier en cuir clouté et une laisse, mais c'est Sylvie, qui a provoqué leur fou rire exhibant un énorme gode. Sylvie tient l'énorme queue en latex et fait mine de se masturber en riant aux éclats.
    - Allez, ordonne Marie, va faire ta pute ! Va sucer la queue de ma copine !
    Tu te diriges alors à quatre pattes vers Sylvie qui te toise divinement et qui s'amuse à bouger le gode au moment où tu t’apprêtes à le prendre en bouche. Tu ouvres grand la bouche en guise de soumission.
    - Regardez tous ! Elle ouvre la bouche, elle n'attend que ça !
    Elodie s'approche de toi, doucement, le regard hautain, le sourire aux lèvres, tu sais qu'elle s'apprête alors à te dominer comme jamais tu ne l'as été jusqu'à présent. Le pire est que c’est une amie de ta fille et que tout ça se passe devant tes copines et que tu sais que tu vas continuer à les croiser tous les jours.
    Elle te tire alors les cheveux pour te forcer à relever la tête dans notre direction.
    - T'es bien silencieuse, nous on veut entendre le son de ta voix. Tout à l'heure tu faisais pas ta timide, pendant le repas, tu la ramenais à tout bout de champ...
    - C'est vrai ça, poursuit Sylvie, tu fais moins la mariole là maintenant !
    - On veut t'entendre nous dire que t'es qu'une chienne, exige Elodie en te passant le collier autour du cou. Comme ça après on pourra te promener comme une vraie petite chienne.
    Tu n'hésites qu'une demie seconde. L'humiliation est délicieuse.
    - Oui Maîtresse Elodie, je suis une chienne.
    - T'es pas juste une chienne, t'es une pute, renchérit Sylvie en te présentant le gode sous le nez. Allez vas-y dis le !
    - Oui Maîtresse Sylvie, je suis une pute.
    - Une pute qui aime tailler les pipes, allez dis le !
    - Oui Maîtresse Sylvie, je suis une pute qui aime tailler les pipes.
    Elodie accroche la laisse à ton nouveau collier et te pousse en direction du gode à engloutir. Il est énorme et veiné et tu peines au moment de le prendre en bouche. Tu déglutis avec peine, respire difficilement, de la salive commence à couler et tu manques presque de t'étrangler lorsque Sylvie retire doucement le gode pour le renfoncer brusquement au fond de ta gorge. Elle est moins expérimentée que les autres. Son inexpérience la rend brutale et maladroite mais son excitation est palpable et contagieuse. Toi, l’aide soignante respectée, tu es en train de tailler une pipe à une étudiante armée d'un gode ceinture... Et tout ça devant tes amies. Sylvie n'en revient pas, elle en jouit debout devant nous rien qu'à te toiser.
    - Regardez comme elle me pompe bien, dit Sylvie en baisant ta bouche avec une violence qui n'a rien à envier aux films pornos les plus osés. Mais cette fois, tu en as vraiment envie, tu es au-delà de la honte. Tu te saisis alors du gode et fait mine de le branler. Mieux tu baves dessus comme une vraie chienne en chaleur.
    - Ouah, elle est trop géniale ta copine maman, félicite Elodie en s'asseyant sur le fauteuil. Et puis maintenant qu’on la connaît comme ça…
    Elle n’a pas besoin d’en dire plus, tu sais très bien ce qu’elle sous-entend.
    Tu sens ma main qui fait pression sur ta nuque pour t'obliger à te mettre à quatre pattes afin de garder le gode en bouche. Dans le même temps, une autre main retrousse ton tailleur et te palpe les fesses. Nous avons maintenant la vision de ton cul, superbement mis en valeur par le string qui te rentre dans les fesses et ton porte-jarretelles qui maintient tes bas tendus.
    - Ouah ! Madame aime les dessous sexy ! Une vraie petite bourgeoise en chaleur ! S’extasie Elodie. Il faut dire que j’avais spécialement choisi la lingerie que tu devais porter pour l'occasion.
    - Elle cache bien son jeu, ajoute Marie en posant un pied sur ta fesse.
    Elle ressemble à un chasseur venant d'abattre un gibier de choix et posant pour la postérité sur le corps vaincu de sa proie. Tu sens la pointe du talon qui s'enfonce dans ta chair. Tu pousses un petit cri aigu mais sans cesser de pomper le gode de Sylvie.
    - Oh, madame est douillette, se moque Marie.
    Elle s'accroupit alors à côté de toi et avant que tu n'ais le temps de te demander ce qu'elle va faire, tu reçois une volée de claques sur les fesses. Tes protestations sont étouffées par le sexe en plastique que tu as dans la bouche et couvertes par nos rires.
    - Vas-y maman, frappe plus fort ! L’encourage sa fille. Fais pas semblant, elle aime ça !
    Les claques redoublent de violence sous les encouragements d’Elodie. Tes fesses rougissent à vue d'œil et déclenchent une avalanche de moqueries.
    - Tu peux y aller, elle aime les coups, relève Sylvie. Regarde comme elle me suce mieux maintenant que tu lui donnes la fessée !
    Et c'est vrai que tu accompagnes ta fellation de violents coups de têtes et de succions exagérées. Tu ronronnes de plaisir, tu perds toute retenue, te vautre dans la décadence avec un plaisir difficilement soupçonnable. La fessée se poursuit à un rythme encore plus soutenu, tu as le cul qui commence à te chauffer. Mais tu aimes et tu le montres en remuant du bassin de manière obscène. Comme pour provoquer ta fesseuse et l'inciter à taper plus fort encore. La réaction ne se fait pas attendre.
    - Regardez cette salope comme elle remue du cul ! Elle en redemande.
    C'est Elodie, tu as vite compris que c’est elle qui te fera le plus souffrir (jouir ?)...
    Marie se saisit alors de ton string et tire dessus violemment pour le faire rentrer plus profondément encore dans tes fesses et dans ton sexe. La surprise et la douleur que l'étoffe provoque en te cisaillant les grandes lèvres te fait recracher le gode. Mais tu te gardes de protester, tu es notre chose. Elodie, qui s'aperçoit que tu n'as plus le gode en bouche est la plus prompte à réagir. Elle te saisit le menton et te gifle à toute volée.
    - Qui t'a permis de recracher le sexe de la copine de ma mère ?
    Sylvie la regarde, éberluée par la violence de sa réaction. Je pense alors qu'elle est allée trop loin, que tu vas te rebeller mais il n’en est rien, tu joues ton rôle à merveille.
    - Pardon Maîtresse, pardon... Et tu reprends le gode pour l'engloutir au plus profond de ta gorge.
    - Ce n'est pas à moi que tu dois demander pardon, mais à Sylvie !
    Tu retires doucement le gode de ta bouche pour répondre.
    - Je vous demande pardon Maîtresse Sylvie, je le ferai plus, je vous obéirai... Tout ce que vous voudrez...
    - Putain tu lui as mis le cul dans un bel état ! Reprend Elodie.
    - Oui, ses fesses étaient trop pales à mon goût, répond Marie. Putain elle m'excite grave.


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  • Fist anal et gode dans la chatte, un moment agréable...

    http://www.fileserve.com/file/UwC7ey5


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  • Suite de nos échanges   Date: Sat, 13 Mar 2010 13:24:49 +0100

    bonjour pere fouettard
     
    je dois avouer que votre recit ma excité grave , comme j'aimerais le vivre en vrai , ça m'est deja  arrivée de penser a des soirée comme  celle la
    je sais pas comment je reagirai si  ça m'arrivais en vrai , mais e ntout cas oui c'est un de mes fantasmes
    si vous pouviez mettre Marie  c'est une collegue et Elodie sa fille , j'ai  aussi une autre amie Sylvie et aussi Amandine  une amie de ma fille- le fantasmes  serais encore plus realiste ( meme si ça ne reste qu'un fantasme), vous pouvez continué dans cette direction
    je vous fais une confidence  quand j'etais avec mon ex il m'est arrivée  qu'il m'attache avant que je le suce et qu'il me prenne en levrette main dans le dos attachées
    je pense que mes fantasmes  viennent un peu de la  car j'adorais ça
    vivre  tout un week sous vos  ordres et ceux de mes amies comme j'aimerais vraiment
    merci pour ce moment delicieux Pere fouettard ( doisje vous  dire que ça ma fais bcp m---- et que j'ai pas pus resisiter)
    bise
    Cath

    Tu sais que tu dois m'obéir jusqu'au lundi mais tu te rappelles que le soir même, tu as invité tes deux amies Marie et Sylvie à manger et tu essaies de me convaincre que l’on pourrait arrêter pour ce week-end, tu es même prête à échanger la journée qui reste contre deux week-end complets.
    Mais non, ma belle, un accord est un accord et tant pis si tes copines risquent d’être surprises.
    Elles arrivent vers 19 heures, Marie vient avec Elodie, sa fille, tu blêmis car ça n’était pas prévu au programme. Le repas se passe bien, tout le monde rigole ; toi, un peu moins car tu ne sais pas si je vais mettre mes menaces à exécution.
    Nous mangeons tous ensemble, tu dois faire la vaisselle et nous rejoindre au salon après avoir fini. Un certain malaise s'empare de toi en te dirigeant vers le salon. Que vas-tu trouver en poussant la porte ? Tu ne peux plus reculer.
    Quelque chose a changé, tu le sens, mais quoi ? Tu ne tardes pas à avoir la réponse en découvrant ton sac à main, grand ouvert sur la table basse. Tes jambes sont sur le point de se dérober en constatant ce que tu vois...
    Ton sac trône sur la table, vidé de tes papiers, rouge à lèvres, portable, clés et autres effets personnels pour qu'apparaisse plus nettement ce que j’y ai rajouté discrètement durant ton absence.
    Bref, dans ton sac, il y a à cet instant, quelques photos d'une femme te ressemblant, nue, à quatre pattes, les fesses rougies par la fessée, pénétrée d'objets obscènes et variés. Ce n'est pas toi, mais tu reconnais que le montage est stupéfiant. Le visage est flou ou alors les photos sont prises de dos, mais la silhouette est très proche de la tienne, jusqu'à la forme de tes seins, de tes hanches, ou même ta coiffure. Tu es sous le choc, te demandant un instant si ce n'est pas vraiment toi.  
    Mais ce n'est pas tout, il y a aussi un plug de belle taille qui trône sur la pile de photos.
    - Moi la photo que je préfère c’est celle-ci, dit Marie en te tendant une photo censée te présenter nue à 4 pattes avec un plug dans les fesses. Je trouve, poursuit Marie, qu'elle révèle vraiment ton identité.
    Tu te tiens à la table, tu avais beau t'y attendre, c'est un choc. Tu perds pied, c'est ce que tu voulais, mais c'est plus fort que toi, tu blêmis.
    Elodie s'empare de la lettre que tenait Sylvie, (une lettre censée se trouver dans ton sac) et commence la lecture à haute et intelligible voix.
    - Je suis une femme de presque 40 ans, divorcée, habituée à commander, je suis aide-soignante du genre plutôt autoritaire. Pourtant, ce que tout le monde ignore, mes proches, mes patients, c'est que je suis une grosse vicieuse.
    - C'est vrai que je me demande ce qu’ils diraient s'ils voyaient ces photos, poursuit Elodie. Au fait, les choses ont changé, tu me vouvoies. Ok ?
    Ce n'est pas une demande, c'est une décision sans appel.
    - Oui... Si vous voulez.
    - Bien, alors répond à ma question, que penseraient-ils si ils voyaient tes photos écartelée et ligotée sur ton lit, car c'est ton lit en plus ?
    - Oui
    - Oui qui ? Oui quoi ? Reprend Elodie d'une voix autoritaire.
    - Oui Elodie, tu as raison (elle te foudroie du regard) Pardon, (tu baisses les yeux tellement tu as honte, tu sais qu’Elodie connaît ta fille et tu n’as qu’une crainte qu’elle répète ce qui se passe ce soir), vous avez raison, je suis bien sur mon lit.
    Ta voix est un murmure, tu as même des sanglots au fond de la gorge. Tu es émue à un point que tu n'aurais jamais imaginé d’être obligée de te rabaisser devant cette gamine. Je prends la parole.
    - Lève la tête et regarde nous !
    Tu obéis, bien sûr, l'air abattu, les larmes aux yeux.
    - Elle fait moins la fière maintenant, renchérit Elodie en relisant le passage de ta lettre où tu te présentes ainsi. « Sous des dehors de femme polie et bien élevée, je rêve d'être insultée et rabaissée. On me dit froide et parfois hautaine ou arrogante, j'aimerais que l'on me rende humble et soumise.»
    - Alors c'est ça qui te fait mouiller ? Relance Elodie en levant les yeux de la lettre et en te souriant d'un air narquois. Etre insultée, rabaissée, soumise ?
    - Elodie s'il vous plaît, rendez moi cette lettre !
    Il s'agit d'une lettre que je t’ai fait écrire de ta main, tu as peur que l'on reconnaisse ton écriture, mais cette lettre te trahit plus que des photos anonymes.
    - Te la rendre sûrement pas ! Pas tout de suite en tous cas... Il va falloir être très gentille avec nous sinon... Tes collègues vont très vite en recevoir une copie.
    - Oh mon dieu non !
    Marie que tu n'as pas vu s'approcher passe une main sur ta poitrine. Tu sursautes mais demeure ensuite pétrifiée, le souffle coupé.
    - Mais nous aussi on veut ton bien, on va exaucer tes désirs, tu vas aimer, dit elle en te malaxant le sein violemment. (Tu grimaces mais ne dis rien) Pas vrai qu'on va exaucer ses désirs ?
    - Ca c'est sûr, écoute ce qui fait mouiller cette salope, tu vas aimer.
    Et Elodie reprend la lecture de ta lettre : « Je me masturbe tous les jours comme une cochonne, parfois même dans les toilettes de la maison de retraite, je m'enfonce des godemichés, des plugs et des vibromasseurs. »
    - Putain quelle salope ! Je ne te connaissais pas sous ce jour, s’esclaffe Marie.
    - Attendez, attendez, reprend Elodie. Ecoutez la suite : « Pour vous prouver la véracité de mes dires, je me suis branlée tout l'après midi en écrivant cette lettre, simplement en imaginant les châtiments que vous m'infligeriez après sa lecture. Et si cela ne suffisait pas à vous convaincre de mon extrême perversité, il vous suffit de me déculotter pour vous rendre compte à quel point je suis une femme dépravée. N'hésitez pas à me punir durement, à me donner la fessée que je mérite. »
    - L’aide soignante qui se prend une fessée, c'est trop top ! Glousse Sylvie. Je le crois pas...
    Tu es morte de honte. Tu te renfrognes en baissant la tête.
    - Putain quelle salope ! Répète Marie, cette fois en te tordant les seins.
    Tu trembles et passes du blanc cadavérique au rouge vif. La chaleur t'envahit tout le corps. Mais cette fois, la peur engendre l'excitation.
    Tu es prise au dépourvu, tu n’as plus prise du tout sur les événements mais c'est ce qui t'excite de plus en plus.
    - Tu veux savoir ? T'es une vraie chienne, conclut Elodie.
    Sylvie, de plus en plus excitée par la situation, ajoute d'une voix perfide.
    - Mais une chienne, ça se déplace à 4 pattes, non ?
    Elle laisse apparaître un large sourire et je décide de rompre le silence.
    - Il me semble que Sylvie t'a demandé de te mettre à 4 pattes ?
    Tu joues les vierges effarouchées en poussant un « oh » d'indignation.
    Tu hésites et tu décides de me pousser dans mes derniers retranchements, persuadée que je vais prendre autant de plaisir que toi à te briser... Car l'issue ne fait évidemment aucun doute.
    - Quoi ! Tu vas pas faire ta mijaurée, c'est bien toi qui a écris que tu voulais être rabaissée et insultée ?
    - Oui mais...
    - Il n'y a pas de mais, tu l’as écris, alors c'est le moment, fous toi à quatre pattes ou je te jure que j'envoie ta lettre à tout le monde ! 


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